Ça y est ! Je suis officiellement l’heureux propriétaire d’une ancienne ! Après plusieurs mois de recherche, de persévérance, de bouche à oreille, de visites dans des endroits improbables, j’ai enfin trouvé la perle rare: une Peugeot 202 de 1948, en assez bon état.
Le châssis semble être sain. Pas de trace de perforation par la rouille. La voiture est bien conservée. C’est une bonne nouvelle. Je vais essayer de retracer ici toutes les étapes de la restauration: il y a du boulot, c’est évident.
Comme disait un ami (#Denis pour ne pas le nommer): on sait quand on commence, mais on ne sait jamais quand on finit …